Non. Mais voici pourquoi moi, j’utilise ces outils.
Je vais te dire un truc simple :
- Tu peux coacher sans cynisme.
- Tu peux coacher sans humour noir.
- Tu peux coacher sans sarcasme.
Mais moi, j’ai choisi de les utiliser.
Pas pour faire le malin.
Pas pour provoquer gratuitement.
Mais parce que la vie est rude, et que parfois, si tu veux pas sombrer, t’as besoin de pouvoir en rire. Et parce que ces outils, quand j’étais dans le dur, m’ont aidé à garder la tête hors de l’eau. Aujourd’hui, ça fait parti de moi.
🎯 Moi, je ne te brosse pas dans le sens du poil
Tu ne viens pas me voir pour que je te dise que tout va bien.
Tu viens parce que tu bloques, tu doutes, tu tournes en rond, tu souffres, ou parce que t’en peux plus de te raconter des histoires.
Alors non, je vais pas te border.
Je vais pas te dire que “c’est parfait d’être là où tu es”.
Je vais pas t’offrir une caresse d’Instagram.
Je vais t’écouter, à fond.
Et ensuite, je vais te dire ce que personne n’ose te dire.
Parfois, avec douceur.
Parfois, avec ironie.
Parfois, avec une phrase qui claque et qui dérange.
Mais toujours avec une intention : t’aider à te réveiller.
🧠 Pourquoi j’utilise le sarcasme ?
Parce qu’il perce la bulle.
Le sarcasme, quand il est bien utilisé, fait péter les excuses molles, les histoires qu’on se répète, les drames qu’on entretient pour éviter la responsabilité.
Tu me dis :
“J’ai toujours pas lancé mon projet, mais bon, c’est pas le bon moment…”
Je te réponds :
“Ah oui, c’est vrai, faut attendre que Mercure arrête de rétrograder, que les planètes s’alignent et que ta peur décide d’aller se coucher, non ?”
Tu rigoles.
Et tu piges que tu te fous de ta propre gueule.
Et là, la prise de conscience se fait.
Pas dans la douleur.
Dans le décalage, dans le réel, dans la lumière crue.
Ça, c’est du coaching.
😏 Pourquoi je suis parfois cynique ?
Parce que je supporte pas le bullshit.
Je vois trop de “coachs lumineux” qui vendent de la “confiance en soi” à 1997€, avec un filtre beige et trois citations par jour.
Mais dès que ça pue, dès que c’est moche, dès qu’il faut traverser la honte ou l’échec, ils se barrent. Ou ils te renvoient vers un PDF.
Moi, je reste.
Et si je suis cynique, c’est pas pour détruire.
C’est pour dénoncer ce qui t’enferme.
Quand tu me dis :
“J’ose pas me montrer, j’ai peur d’être jugé…”
Je te réponds :
“Ouais, t’as raison. Vaut mieux rester dans l’ombre à attendre que la confiance pousse toute seule comme un pot de basilic.”
C’est moqueur. Mais c’est jamais méchant.
C’est là pour te faire réagir, te ramener à toi, te faire bouger.
😂 Et l’humour noir dans tout ça ?
Je l’utilise quand t’as le cœur lourd, quand t’as honte, quand t’oses même pas poser les mots.
L’humour noir, c’est une manière de briser la glace du silence, de mettre de l’air dans la douleur, de dire :
“Je vois ton bordel. Et je te juge pas.”
Tu me dis :
“Parfois je me demande si j’ai pas tout raté.”
Je réponds :
“T’inquiète, y’a des gens qui ont ruiné leur vie et qui font des TEDx. T’as encore de la marge.”
Tu souris.
Et t’oses parler.
Parce que tu sens que tu peux tout dire ici, sans masque, sans filtre.
C’est ça, ma manière de t’accueillir.
💥 Mon but ? Pas que tu te sentes mieux. Que tu bouges.
Je suis pas là pour t’apaiser à tout prix.
Je suis là pour t’aider à retrouver ton putain de pouvoir.
Et pour ça, faut parfois :
- Rire de ce qui te paralyse
- Voir le ridicule de ce qui t’enferme
- Accepter la vérité nue, même si elle pique
- Et arrêter de prendre ta souffrance comme une identité
La transformation, c’est pas un spa. C’est une friction.
Et si je dois être un peu sarcastique, un peu cynique, un peu brutal pour t’y emmener,
alors je prends ce risque.
🙌 Tu veux un coach qui te dit tout va bien ? Je suis pas le bon.
Mais si tu veux :
- Un coach qui t’écoute vraiment
- Qui ne t’épargne pas, mais ne te lâche pas
- Qui te respecte trop pour te mentir
- Qui ose dire les choses crûment
- Qui met de la lumière dans le bordel
Alors oui, je suis là.
Avec mes vannes. Mon franc-parler. Mon humour à la con parfois.
Mais surtout avec une présence totale, une envie de t’aider à te relever, et zéro peur de mettre les mains dans le cambouis.
Parfait. Voici le passage à intégrer, en cohérence totale avec ton ton et l’angle de l’article. Je te le place juste avant la conclusion finale (celle qui commence par “Tu veux un coach qui te dit tout va bien ? Je suis pas le bon.”), pour faire monter la tension avant la clôture.
🛠️ Mon objectif ?
Pas les likes. Ton putain de mouvement.
Je vais être clair :
Je suis pas là pour être adulé.
Je suis pas là pour récolter des likes sur Instagram, pour casser les scores sur YouTube, pour jouer au coach-influenceur en forêt avec un micro cravate.
Je m’en fous que tu m’aimes (bon, si tu m’aimes bien, j’crache pas dessus)
Mais avant tout, j’aimerais que tu bouges.
Que tu reprennes le pouvoir sur ta vie. Que tu cultives une vraie confiance en toi, pas un mantra de salle d’attente. Que tu comprennes que t’es pas cassé, juste bloqué — et que ça se débloque, si on y va vraiment.
Je suis là pour faire mon taf,
Pas pour être “inspirant”.
Mais pour être efficace. Présent. Et utile.
Et parfois, ça passe par une claque. Une vanne. Un miroir brut.