Estime de soi : arrête de te voiler la face, camarade !
Putain, t’en as pas marre de te sentir comme une merde ? T’es pas le seul, rassure-toi.
Plus de la moitié des gens pataugent dans le même bourbier. Et c’est pas juste une question de confiance en soi, non, c’est tout un package : estime de soi en miettes, comparaisons à la con, et incapacité à voir ce qu’on vaut vraiment.
Mais bon, les chiffres, c’est bien joli, mais ça change quoi pour toi, camarade ?
T’as grandi avec des parents qui t’ont fait croire que t’étais bon à rien, t’as enchaîné les échecs scolaires, et maintenant, tu te compares aux autres en te disant que t’es une merde.
Tu penses que ton passé te condamne, que l’estime de soi, c’est inné, et que t’as juste pas eu de bol.
Eh bien, laisse-moi te dire que c’est des conneries. Ton passé, c’est pas une chaîne, c’est un putain de tremplin si tu sais où appuyer.
L’estime de soi, ça se construit, ça se muscle, et ça commence par arrêter de se comparer aux autres et de chercher leur approbation.
Dans les prochains points, on va démonter ces croyances à la con une par une.
On va voir comment ton passé peut devenir ta force, pourquoi la comparaison sociale est un poison, et comment découvrir ton « Why » peut te donner une boussole pour redresser ton estime de toi.
Prépare-toi, camarade, ça va secouer.
Ton passé, ce n’est pas une chaîne, c’est un putain de tremplin
Ce que tu crois : ton passé te condamne
Tu te dis que les cartes étaient déjà pipées pour toi.
Entre les échecs scolaires, les parents qui te rabaissaient, et ce foutu sentiment de n’être jamais à la hauteur, t’as fini par croire que ta vie était un train déraillé avant même d’avoir quitté la gare. « Je suis comme ça, et je ne peux pas changer », tu te dis.
Sérieusement ?
Tu vas laisser ton passé continuer à te foutre des claques alors qu’il pourrait te servir de tremplin ?
Ce que tu dois comprendre : ton passé peut devenir ta force
Regarde un peu mon parcours, camarade. Moi aussi, j’étais convaincu que je ne valais rien.
Quand on te répète toute ta jeunesse que tu n’arriveras jamais à rien, difficile de ne pas y croire.
Et pourtant, j’ai retourné cette histoire à mon avantage.
Ton passé, c’est pas une condamnation à perpétuité. C’est un putain de manuel d’instruction.
Chaque douleur, chaque échec, chaque mot blessant que t’as entendu, c’est une leçon que tu peux utiliser pour avancer. Ce que t’as vécu, c’est ton expérience.
Et cette expérience, c’est une arme, pas un boulet.
Passe à l’action : transforme ta vision
- Prends conscience de ton récit intérieur. Quand tu te dis « je suis nul« , demande-toi : qui a mis cette idée dans ma tête ? Et surtout, pourquoi je continue de la croire ?
- Récupère ton pouvoir. Ton passé, c’est un fait, pas une excuse. Utilise-le pour comprendre ce qui t’a bloqué jusqu’ici et ce que tu refuses de revivre.
- Identifie ce que tu veux. Pas ce que t’ont imposé tes parents ou tes profs à l’époque, mais ce qui résonne avec qui tu veux être maintenant.
Camarade, ton passé peut être ton pire ennemi ou ton meilleur allié. Le choix, il est là, et il n’appartient qu’à toi.
Alors, tu fais quoi ? Tu continues à subir, ou tu t’en sers pour tout casser ?
La comparaison sociale, ce poison
Ce que tu crois : les autres réussissent, toi, tu stagnes
Tu passes ton temps à regarder autour de toi. Sur LinkedIn, tu vois des collègues qui postent des succès à la chaîne.
Sur Insta, c’est les photos des potes en vacances de rêve ou qui viennent d’acheter une baraque.
Et toi, camarade ?
T’as l’impression de te traîner, d’être à la rue complet, d’être… rien. Tu te compares, et à chaque fois, tu te prends une gifle mentale.
Mais t’as jamais pensé que tu regardais le film des autres alors qu’ils te montrent que la bande-annonce ?
Ce que tu dois comprendre : la comparaison, c’est une illusion
Tu veux un truc vrai ? Moi aussi, je suis passé par là.
J’avais pas une thune, un passé pourri, et une confiance en moi éclatée. Et ouais, je regardais les autres avec jalousie, en me disant : « Pourquoi pas moi ? »
Sauf que ce que les autres te montrent, c’est jamais la réalité complète. Ils cachent leurs échecs, leurs doutes, leurs galères.
Comparer ta vie intérieure avec l’extérieur des autres, c’est un jeu truqué. Le seul truc que ça fait, c’est t’enfoncer encore plus.
Alors arrête de mater les autres, et concentre-toi sur ton propre chemin. Parce que leur réussite ne diminue en rien ton potentiel.
Passe à l’action : débranche ce foutu réflexe
- Coupe les réseaux sociaux. Mets une pause sur ces vitrines trompeuses. Le temps que tu reprennes le contrôle de ta vision.
- Fais la liste de tes réussites. Pas celles des autres, les tiennes. Chaque fois où t’as accompli quelque chose, petit ou grand.
- Fixe-toi tes propres objectifs. Ce que tu veux vraiment, pas ce que les autres te font croire qu’il faut vouloir.
Camarade, t’as pas besoin de courir derrière le succès des autres. T’as ton propre chemin à tracer, un chemin qui te ressemble.
Alors, tu veux être le figurant dans le film des autres ou l’acteur principal de ta vie ? À toi de voir.
L’estime de soi, ça se construit, bordel !
Ce que tu crois : soit t’en as, soit t’en as pas
Camarade, tu t’es fait un beau film : tu crois que l’estime de soi, c’est comme une loterie génétique.
T’as tiré le mauvais numéro à la naissance, et depuis, tu te dis que t’es condamné à rester dans la case des losers. « C’est pas pour moi« , tu te dis.
Mais putain, qui t’a mis ça dans la tête ? L’estime de soi, c’est pas inné, c’est une compétence. Et comme toute compétence, ça s’apprend.
Ce que tu dois comprendre : l’estime de soi, c’est un muscle
Regarde un peu mon parcours. J’ai grandi en me faisant démonter psychologiquement par ma propre mère.
Résultat ?
Une estime de soi plus plate qu’une crêpe. Mais j’ai découvert un truc : à force de petites victoires, tu peux muscler cette estime. Ça commence par des trucs simples, mais réguliers.
Tu fais, tu réussis, tu prends confiance. Chaque décision pour toi, chaque pas en avant, c’est comme un poids que tu soulèves.
L’estime de soi, c’est pas une loterie. C’est une discipline. Et ça commence par arrêter de croire aux conneries qu’on t’a foutues dans la tête.
Passe à l’action : commence à te muscler mentalement
- Prends une petite décision chaque jour. Choisis un truc, fais-le, et termine-le. Ça peut être minime, comme lire 10 pages d’un livre ou aller marcher 15 minutes.
- Arrête de t’auto-démonter. Remplace chaque « je suis nul » par « j’essaie, et ça compte ». Même si ça te paraît faux, répète-le.
- Célèbre tes petites victoires. Fais-toi un high-five mental pour chaque progrès, même les petits. Oui, ça compte.
Camarade, ton estime de toi, c’est pas un putain de cadeau qu’on te fait à la naissance.
C’est un truc que tu gagnes, un choix que tu fais. Alors, t’attends quoi pour commencer l’entraînement ?
Estime de soi et confiance en soi : c’est pas le même bordel
Ce que tu crois : sans confiance en moi, impossible d’avoir une bonne estime
Camarade, tu mélanges tout.
Tu te dis que parce que t’as pas la confiance pour briller en public ou prendre des décisions de ouf, alors forcément, ton estime est foutue. Mais laisse-moi t’éclairer : la confiance en soi, c’est pas l’estime de soi.
C’est comme comparer une bagnole à son moteur. L’estime, c’est la base, la bagnole qui te porte. La confiance, c’est juste le turbo que t’ajoutes pour aller plus vite dans des situations précises.
Ce que tu dois comprendre : l’un peut exister sans l’autre
Quand j’étais gamin, j’avais pas une once de confiance en moi. Rien. Parler en public, poser une question, même lever la main en classe, c’était hors de question.
Mais tu sais quoi ?
J’avais encore un reste d’estime, une étincelle. C’est elle qui m’a poussé à bosser, à creuser mes forces, et à bâtir la confiance pas à pas.
L’estime de soi, c’est ton socle.
Tu peux avoir une estime solide et manquer de confiance dans certains domaines. Et tu peux avoir confiance en toi dans une situation précise tout en ayant une estime globale de merde.
La différence ? L’estime, c’est pour la vie.
Passe à l’action : construis ton socle avant ton turbo
- Reviens à la base. Note les valeurs qui comptent pour toi, ce que tu respectes profondément chez toi. Pas besoin d’impressionner qui que ce soit.
- Développe une compétence à la fois. Choisis un domaine où t’es curieux, bosse dessus, et constate que ta confiance s’installe au fur et à mesure.
- Rappelle-toi que t’es pas parfait, et c’est ok. Ni toi, ni personne. L’estime vient de l’acceptation, pas de l’illusion de perfection.
Camarade, ta confiance en toi, c’est un bonus, pas la base. Alors, si t’as l’impression que t’es à sec, va d’abord retaper ton socle, ton estime. Le turbo, ça viendra après.
Comment construire ton estime de soi malgré tout
tout le monde peut la construire, même toi
Quand j’ai commencé à bosser sur mon estime, j’étais au ras des pâquerettes. Une famille qui me rabaissait, des échecs à la pelle, et une voix dans ma tête qui me disait que j’étais bon à rien.
Pourtant, un jour, j’ai décidé d’arrêter de me faire du mal. J’ai commencé petit, à mon rythme, en me fixant des mini-objectifs que je pouvais atteindre.
Ton estime de soi, elle se construit sur des petites victoires. Elle ne dépend pas de ce que les autres disent de toi, mais de ce que toi, tu fais pour toi-même.
Passe à l’action : construis, même sur des ruines
- Fixe-toi des objectifs réalistes. Pas besoin de viser la lune, commence par des trucs que tu sais pouvoir accomplir, comme tenir une routine simple ou t’accorder un moment rien qu’à toi.
- Entoure-toi de bonnes personnes. Fuis les rabat-joies et les toxiques. Trouve des gens qui te poussent vers le haut et croient en toi, même quand toi, t’y crois pas encore.
- Sois patient avec toi-même. T’as pas foutu ton estime en l’air en une nuit, elle va pas se reconstruire en une semaine. C’est un chantier, pas un coup de baguette magique.
Camarade, t’as le droit de changer, peu importe où t’en es aujourd’hui. Ton estime, c’est comme une maison : même sur des ruines, tu peux bâtir un putain de château.
Alors, c’est quoi ton premier coup de marteau ?