🧨 T’es pas d’accord avec une féministe radicale ? Elle te fait taire. Littéralement.
Tu poses une question.
Tu émets un doute.
Tu fais une remarque — pas insultante, pas déplacée, juste un angle différent.
Et là, tu vois ton compte disparaître.
Signalé. Banni. Bloqué. Éjecté.
- Pas de débat.
- Pas de contradiction.
Juste une rafale de signalements et un silence imposé.
Bienvenue sur les réseaux version tribunal idéologique.
🧱 Elles parlent d’égalité. Mais imposent la soumission.
Ce qui est terrifiant, c’est pas leur discours sur l’égalité.
C’est la façon dont elles veulent y parvenir.
👉 Pas par la discussion.
👉 Pas par la nuance.
👉 Pas par l’intelligence.
Par l’intimidation. Par l’effacement. Par l’exclusion.
Et ça, désolé, c’est pas du féminisme.
C’est une prise de pouvoir.
C’est un autoritarisme déguisé en justice.
🧠 Quand “égalité” devient “domination inversée”
Parce qu’on en est là :
- Si t’es un homme, tu dois te taire.
- Si tu parles, c’est suspect.
- Si tu critiques, t’es un oppresseur.
- Et si t’es pas d’accord, tu seras traité comme un ennemi à abattre.
Et le pire ?
C’est qu’elles ont les outils pour te faire disparaître :
- Signalements massifs.
- Campagnes de harcèlement sous couvert de “justice sociale”.
- Pression algorithmique pour que ta voix se perde dans le bruit.
C’est pas une quête d’équité. C’est une exécution numérique.
🔥 “Allié” : ce mot qui dit tout
T’as remarqué ?
Elles parlent pas d’hommes.
Elles parlent d’alliés.
👉 Un homme, aujourd’hui, pour avoir le droit de parler, doit montrer patte blanche, et doit adopter leur vocabulaire, leur grille de lecture, leur niveau d’indignation.
Et s’il dévie, même d’un millimètre ?
Il passe d’allié à traître.
Et on le balance à la meute.
T’appelles ça de l’égalité ?
Moi j’appelle ça du formatage. De la soumission sous pression.
⚠️ Le féminisme, c’est pas censurer. C’est convaincre.
Et là, soyons clairs :
Le vrai féminisme — celui qui cherche l’équité, la justice, la liberté — a toute sa place. Il est nécessaire. Vital.
Mais ce féminisme radicalisé, algorithmique, punitif ?
Celui qui élimine tout ce qui n’est pas aligné à 100 % avec sa ligne idéologique ?
C’est une dérive. Un dogme. Un système de contrôle.
Et dans tout système dogmatique, la contradiction devient un danger à abattre.
🧭 L’égalité ne devrait pas faire taire. Elle devrait faire parler.
On ne construit pas une société plus juste en remplaçant une domination par une autre. On ne gagne pas en droits en éradiquant toute voix masculine par défaut.
Tu veux défendre ton point de vue ? Ok. Mais si ton seul réflexe, c’est de signaler, bloquer, insulter, isoler, t’as pas un combat féministe. T’as un fantasme de vengeance.
🛑 Ce n’est pas une “communauté”, c’est un champ de mines.
Le pire ?
C’est que ça se passe dans un silence total.
Parce que les mecs qui se font exclure n’ont plus aucun moyen de parler.
Et les autres ?
Ils se couchent.
Ils deviennent les “bons petits alliés”.
Ils répètent ce qu’on attend.
Par peur de se faire dégager eux aussi.
Mais ça, c’est pas une avancée.
C’est une soumission généralisée.
Et le féminisme, s’il devient une dictature sociale, perd tout ce pour quoi il est né.
Oui, il faut l’équité.
Oui, les violences faites aux femmes doivent cesser.
Oui, les écarts de salaire doivent disparaître.
Oui, la femme est l’égale de l’homme.
Tout ça, oui. Mille fois oui.
Mais… on est censés être une société civilisée, non ? Alors s’en prendre violemment à n’importe quel homme, simplement parce qu’il ne récite pas l’intégralité des mantras féministes ? Ou pire : parce qu’il est un homme ?
Sérieusement ?
On veut réparer une injustice… en en créant une autre ?
Ça n’a rien à voir avec l’équité.
C’est juste le miroir inversé de ce qu’on prétend combattre.
🔚 En conclusion : l’égalité ne se construit pas à coups de censures
Tu peux être féministe, engagée, lucide.
Tu peux vouloir un monde plus juste, plus sûr, plus libre.
Mais si tu dois effacer ceux qui ne sont pas d’accord avec toi pour y parvenir,
alors tu ne veux pas l’égalité. Tu veux le pouvoir.
Et ce pouvoir-là, aussi radical soit-il, reproduit exactement ce qu’il prétend combattre.
- Moi, je veux qu’on parle.
- Qu’on débatte.
- Qu’on s’engueule même, s’il le faut.
- Mais pas qu’on se fasse taire.
Parce que si ton combat ne supporte pas la contradiction,
alors c’est pas un combat. C’est une croisade.
👉 Et dans une croisade, il n’y a pas d’égalité. Juste des vainqueurs. Et des cadavres.