D’abord, comprends ce qu’est cette foutue voix intérieure
Alors, tu sais cette voix relou qui ne se tait jamais ? Celle qui te critique constamment en te disant que tu ne vaux rien, que tu n’arriveras à rien ? Ouais, on en a tous une. On parle aussi de la voix « auto-dégradante ».
C’est une sorte de monstre qui vit dans ta tête et qui te malmène à longueur de journée. C’est un peu comme un colocataire instable qui passe son temps à te dire des trucs négatifs et que tu ne peux pas virer.
Imaginons un gars qui veut apprendre à jouer de la guitare. Il se dit « Bon, je vais essayer ». Alors il s’assoit, prend sa gratte, et essaye quelques accords. Après quelques minutes, la voix fait son apparition : « Tu fais vraiment de la merde. Tu n’arriveras jamais à rien avec ça. Tu devrais arrêter maintenant ». Ce gars, c’est toi. Ouais, ça te fait chier d’entendre ça, mais c’est ça l’idée.
Maintenant, apprends à dompter ce sale bête.
Mais alors, comment tu gères ce truc ? Comment tu calmes cette voix qui te critique sans arrêt ?
Il y a plusieurs trucs à essayer, mais ils ont tous en commun une chose : la prise de conscience. Ouais, tu dois d’abord être conscient de ta voix intérieure.
C’est comme si tu voulais chasser un fantôme : tu ne peux pas le faire tant que tu ne sais pas qu’il est là.
La première chose à faire, c’est d’écouter cette voix. Ouais, je sais, ça a l’air con comme ça. Mais c’est super important. Tu dois apprendre à la reconnaître, à comprendre ce qu’elle dit, et surtout pourquoi elle dit ça. Est-ce que c’est parce que tu as peur ? Parce que tu doutes de toi ? Parce que tu t’es mis trop de pression ?
Ensuite, le truc est de ne pas entrer en confrontation frontale avec cette voix. C’est vrai, on a souvent envie de lui dire « Ta gueule », mais ça, ça ne fonctionne pas. Faut la jouer plus finaud. L’idée, c’est de répondre à cette voix. Ouais, tu dois lui parler. Mais pas n’importe comment. Tu dois le faire de manière bienveillante.
Par exemple, si la voix te dit « Tu es nul à la guitare », tu peux répondre « Oui, je débute, et c’est normal de ne pas être parfait. Mais je vais continuer à m’entrainer parce que j’aime ça ».
En gros, tu lui renvoies de la positivité dans la face. C’est comme si tu lui faisais un gros câlin plein d’amour et de bonne énergie.
En fait, gérer sa voix intérieure, c’est un peu comme élever un gosse rebelle. Il te teste, il te critique, il te fait chier. Mais tu dois rester ferme et positif. Tu dois l’aimer même quand il est insupportable. Parce que, au fond, cette voix, c’est toi. C’est la partie de toi qui a besoin d’attention, de compréhension, d’être rassurée.
Et les conséquences de tout ça ?
Bon, tu te demandes peut-être quels sont les effets de cette saleté de voix si tu la gères pas correctement ? Et bah mon vieux, c’est pas beau à voir. Si tu la laisses faire son cirque, elle peut te plomber grave. Une voix intérieure non maîtrisée, ça peut foutre en l’air ta confiance en toi.
Tu te mets des bâtons dans les roues, tu te dévalorises, tu te noies dans des pensées négatives, tu croules sous la pression… Bref, t’as l’impression d’être une vrai merde.
Et ça, ce n’est que le début. Surtout si on y ajoute l’anxiété, la dépression, et j’en passe. C’est dingue comment cette voix peut tout torpiller.
Mais à l’inverse, si tu apprends à dompter ce sale bête, là c’est la joie. T’as vu quand une épine t’enlève une épine du pied ? C’est cette sensation de soulagement, et tu te sens plus léger, plus libre. Tout à coup, tes défauts, tes peurs, tes doutes, ils n’ont plus le même poids. Tu arrives à te concentrer sur ton objectif, à ne plus te laisser distraire par cette voix.
En résumé, ça donne quoi ?
Globalement, la voix intérieure, c’est un truc à double tranchant. Si tu la laisses te contrôler, elle peut te plonger dans le néant. Mais si tu apprends à la dompter, elle peut t’aider à te libérer de tes entraves et à avancer. C’est à toi de choisir.
Alors écoute, prends le temps pour toi, pour gérer ce truc. Ça ne se fera pas du jour au lendemain. La clé, c’est la patience. Et oui, il y a des jours où tu vas lutter, où la voix va être plus forte. Mais souviens-toi que chaque petit pas compte.
Faut jamais oublier que la négativité qu’elle dégage, c’est de la peur, du doute. Ce n’est pas la réalité. T’es pas nul, ni bon à rien, ok ? Sois plus doux avec toi-même, montre-lui qui est le patron et crois en toi.
Et un dernier truc : n’hésite pas à chercher de l’aide si c’est trop dur. Des psy, des coachs, des amis… ils sont là pour t’aider. Personne n’a dit que tu devais toi tout seul. Allez, prends soin de toi, et n’oublie jamais que tu es plus fort que tu ne le penses.
En conclusion,
Faut que tu piges bien un truc : cette voix, c’est toi et personne d’autre. Mais attention à pas la laisser te dicter ta conduite, sinon, t’es mal. Faut lui tenir tête, lui montrer qui est le boss, mais en lui renvoyant de la positivité.
Tu maîtrises ou tu es maîtrisé, et crois-moi, vaut mieux que ce soit la première option. Si elle te ronge, te tape sur les nerfs, demande de l’aide à quelqu’un qui saura te guider. On n’est pas tous des ermites doués de sagesse intérieure, hein, sois pas trop dur avec toi-même.
Un dernier truc à retenir : elle est peut-être coriace, mais elle n’est pas invincible. Elle se nourrit uniquement de tes insécurités, de tes doutes. Et très franchement, c’est juste des bullshit.
Donc, tu lui dis stop, tu la remets à sa place. Et jour après jour, petit pas après petit pas, tu verras, elle finira par se taire.
Et qui sait, peut-être qu’un jour, elle deviendra même ta meilleure alliée. Après tout, elle est là pour te protéger, pour te pousser à te surpasser. Alors, fonce mon vieux, et ne laisse jamais cette voix décider de qui tu es ou de ce que tu peux atteindre.
L’oeil du coach
Chaque individu possède cette voix intérieure, un dialogue interne qui peut parfois nous saboter. Appelée aussi voix « auto-dégradante » en scientologie, elle est comme une ombre encombrante qui s’infiltre dans nos pensées, critiquant chacun de nos faits et gestes. Elle s’exprime violemment lorsque tu tentes quelque chose de nouveau, telle qu’apprendre à jouer de la guitare par exemple, te décourageant et t’invitant à l’abandon.
Apprendre à connaître cette voix intérieure est essentiel pour pouvoir la gérer. C’est la prise de conscience qui est centrale ici : tu dois être conscient non seulement de sa présence, mais aussi d’écouter ce qu’elle dit et de comprendre pourquoi elle le dit. La voix intérieure s’exprime généralement à cause de la peur, du doute, de la pression que l’on s’impose.
La gestion adéquate de la voix intérieure ne se fait pas par la confrontation, mais par la réponse bienveillante. Par exemple, si la voix te dit que tu es nul à la guitare, tu peux répondre positivement en affirmant que tu es encore débutant, que l’apprentissage prend du temps et que tu vas progresser.
Si la voix intérieure n’est pas correctement gérée, elle peut miner notre confiance en nous, générer des pensées négatives et augmenter le stress et l’anxiété. Par contre, lorsque tu apprends à la dompter, tu retrouves la liberté et la légèreté. Tes doutes et tes peurs perdent de leur poids et tu es capable de rester concentré sur ton objectif.
En fin de compte, la voix intérieure est à double tranchant. Non maîtrisée, elle peut te plonger dans le chaos, mais si tu apprends à la gérer, elle te permet de te libérer de tes entraves et d’avancer. La gérer ne se fera pas du jour au lendemain, c’est un processus qui demande patience et douceur envers soi-même. Et si besoin, n’hésite pas à demander l’aide d’un professionnel.
En conclusion, la voix intérieure, c’est toi. Ne la laisse pas te contrôler. Sois doux envers toi-même, crois en toi et rappelle-toi que tu es plus fort que tu ne le penses. Apprends à te libérer de ta voix intérieure, et peut-être qu’un jour, elle deviendra ton alliée, te poussant à te surpasser.