Sort de ta zone de confort l’ami !
T’es là, bien confortablement installé dans ta petite routine, à espérer que tout ira mieux sans que tu aies à bouger le petit doigt. La vérité, c’est que si tu veux avancer, il va falloir te confronter à ce que t’as pas envie d’entendre.
Le coaching, le vrai, c’est pas des caresses dans le sens du poil. C’est un mec en face de toi qui te pose les vérités que t’as toujours fuit, et qui te pousse à arrêter de te raconter des histoires.
Aujourd’hui, on va aborder pourquoi ce que tu refuses d’entendre est exactement ce qu’il te faut pour te transformer. Parce que sans cette claque dans la gueule, tu resteras prisonnier de tes excuses, coincé dans ta petite bulle d’illusion.
Alors, oui, je ter parle de façon directe, un peu brutal. Mais ne t’inquiète pas, c’est pas pour le plaisir de te faire mal, aucun plaisir pour moi là dedans. L’objectif est que tu prennes conscience, que tu ouvres les yeux.
Le confort ne fait pas grandir
On t’a toujours appris à rechercher le confort, à éviter ce qui fait mal. Et tu te convaincs que si quelque chose te bouscule, c’est que ça ne te convient pas. T’as l’impression que si ça pique, c’est pas la bonne voie. Faux.
Totalement faux. Le confort la fameuse zone de confort, c’est ce qui te maintient exactement là où tu es, dans ton cocon moelleux mais stérile, où rien ne change.
Dans le coaching, quand t’entends ce que tu n’as pas envie d’entendre, c’est là que le travail commence. Si ton coach ne te balance pas ces vérités qui font mal, c’est qu’il te laisse dans ta merde.
La transformation, elle vient de la confrontation. C’est comme un entraînement physique : pas de douleur, pas de gain. T’as beau vouloir que ça soit facile, la réalité, c’est que ce qui te fait vraiment grandir, c’est ce qui te sort de ta zone de confort.
Alors, ouais, ça va être dur. Ça va, parfois, faire mal. Mais c’est ça ou tu restes coincé dans tes problèmes mon pote.
La confrontation, clé de la transformation
Un coach qui te brosse dans le sens du poil, ça te fait plaisir, mais ça ne te fait pas avancer. T’as cette croyance bien ancrée qu’un bon coach, c’est celui qui te soutient, qui te comprend et qui t’écoute.
Mais si tout ce qu’il fait, c’est te conforter dans tes choix, tu t’es juste payé un ami bienveillant, pas un coach. La transformation, la vraie, elle vient quand on te force à regarder en face ce que tu refuses d’admettre.
Un bon coach, c’est celui qui te confronte à tes contradictions. Il t’oblige à reconnaître les excuses que tu utilises pour ne pas bouger. Il te met devant le fait accompli : t’as pas avancé parce que tu passes ton temps à éviter ce qui te dérange.
La confrontation, sur certains sujets, est nécessaire, que tu le veuilles ou non. C’est elle qui t’oblige à sortir de tes petites justifications pour enfin te responsabiliser.
Alors, si t’as peur de te faire bousculer, c’est justement que tu as besoin de ça. C’est là que commence la vraie transformation, pas dans les petits encouragements, mais dans les vérités qui dérangent et que tu ne veux pas entendre.
L’illusion du progrès sans effort
« Je fais déjà de mon mieux, ça devrait suffire. » T’as sûrement déjà sorti cette excuse, pas vrai ? En te disant que t’as bien avancé, que t’as fait des efforts, et que ça doit bien finir par payer un jour.
Mais ton mieux, c’est souvent de la poudre aux yeux, une version édulcorée de la réalité pour que tu te sentes bien dans ta peau sans avoir à vraiment te challenger.
Le vrai problème, c’est que tu veux le progrès sans la confrontation. T’as envie de changer, mais sans te heurter à ce que tu refuses d’admettre. T’attends que les choses changent alors que toi, tu restes le même.
Si tu fais des efforts sans accepter d’entendre les vérités qui te dérangent, tu vas juste tourner en rond. Tu vas croire que tu avances, alors qu’en réalité, tu stagnes, et tu continues à alimenter cette illusion que ton « mieux » est suffisant.
Le progrès, le vrai, il vient quand tu fais face à ce que tu n’as pas envie d’entendre. Quand tu arrêtes de te planquer derrière des excuses et que tu acceptes de remettre en question ce que tu pensais être acquis. Tant que tu restes dans cette illusion de confort, tu n’iras nulle part.
La psychologie VS la réalité du terrain
T’as sûrement lu quelques bouquins de développement personnel ou de psychologie qui te disent que comprendre tes problèmes, c’est déjà une grande avancée. Ouais, c’est bien joli tout ça. Mais comprendre, c’est qu’une petite partie du chemin.
La pratique, c’est une autre paire de manches, mon pote. Parce que face à la réalité, tout ce que t’as compris peut te péter à la gueule si tu n’es pas prêt à l’affronter pour de vrai.
Sur le terrain, quand il s’agit de prendre des décisions, de faire des choix, ce n’est plus juste de la théorie. Tu peux passer des heures à analyser pourquoi tu en es là, mais si tu continues à éviter ce que tu n’as pas envie d’entendre, rien ne changera.
Moi aussi, j’ai passé des années à lire des tonnes de bouquins, à essayer de comprendre mon passé, mes traumas, mais tant que je n’ai pas accepté la confrontation avec ma propre vérité, ça restait stérile.
La psychologie, c’est une bonne base, mais ça ne suffit pas. La différence entre ceux qui stagnent et ceux qui avancent, c’est qu’ils ont arrêté de juste comprendre et ont commencé à affronter.
Le terrain, c’est la confrontation avec toi-même, avec tes choix et tes excuses. C’est là que le changement se fait, pas dans les bouquins.
Conclusion
Si tu veux vraiment avancer, camarade, tu dois arrêter de chercher le confort et de fuir ce qui te dérange. La transformation, elle passe par ce que tu refuses d’entendre, par cette confrontation avec tes propres excuses.
Un vrai coach ne te caresse pas dans le sens du poil, il peut te secouer, te met face à tes contradictions pour te faire évoluer. C’est là, dans cette douleur que tu évites, que le progrès se cache.
Ce que tu dois retenir
La confrontation est ta clé. Tant que tu refuses d’entendre ces vérités qui te bousculent, tu resteras prisonnier de toi-même. Le progrès ne vient pas du confort, mais de l’acceptation de ce qui fait mal.